Après utilisation par plusieurs centaines de milliers de personnes, on peut aujourd’hui résumer comme suit les principales caractéristiques du G5® , selon les témoignages des consommateurs et de nombreux médecins ou pharmaciens et autres professionnels de santé.
Il est impossible de donner une réponse précise. On ne peut qu’émettre une hypothèse, compte tenu du fait que des études scientifiques prouvent que tout désordre de l’organisme provient au moins en partie d’un déséquilibre électrique cellulaire : on sait qu’une cellule en bon état est électriquement parfaitement équilibrée, avec son pôle négatif exactement aligné avec son pôle positif. Par contre, une cellule déficiente (suite à une agression, à une maladie, à la vieillesse, etc.) présente des pôles déséquilibrés, qui ne sont donc plus alignés.
Or le G5 est chargé à l’extrême en ions positifs et négatifs instables, qui ne cessent de « tourner » autour de chacune de ses molécules.
Le G5 pourrait donc intervenir dans l’organisme pour rétablir la polarité des cellules déficientes, libérant (ou échangeant) selon les cas des ions positifs ou négatifs. Il serait en quelque sorte un rééquilibrant ionique de l’ensemble de l’organisme, dont l’action donnerait ou contribuerait à donner aux cellules de celui-ci l’énergie nécessaire pour lutter contre tous les types d’agressions dont il est victime.
C’est sans doute ce qui explique la sensation de chaleur, ou de froid, ou de picotements électriques, que certains utilisateurs ressentent circuler dans leur corps, parfois quelques minutes seulement après absorption ou application de G5.
C’est, en tout cas, la seule explication possible en l’état actuel des connaissances.
Le G5 n’est donc pas un médicament au sens médical, pharmaceutique et juridique du terme, mais un « complément alimentaire » renforçateur des défenses naturelles de l’organisme. C’est ce qui expliquerait les résultats obtenus grâce à lui par nombre de médecins dans le traitement des affections les plus variées.
Ce que l’on sait cependant c’est que le silicium stimule la génération du collagène que l’on retrouve dans l’ensemble des tissus de l’organisme, peau, ongles, cheveux, cartilages, os … Vous trouverez plus d’informations sur l’ensemble des études réalisées sur le silicium et le G5 depuis plus de 30 ans dans notre dossier scientifique sur le silicium.
Il est commun dans la nature. C'est le principal composant du sable et du sol, sous la forme de grosses particules de dioxyde de silicium ou "silice". Sous certaines formes, comme le quartz alpha, il est toxique et responsable par exemple de la "silicose" des mineurs. Sous d'autres formes, il semble beaucoup plus inerte. Il s'agit d'une forme bon marché et facile à produire mais selon des recherches universitaires récentes, elle est peu absorbée (1 %) et est donc inutilisable par l'organisme.
Il n'est, en théorie, qu'une particule de silicium minéral de petite taille. S'il est réellement colloïdal, il doit exister sous la forme de "nanoparticules" ; en réalité, il s'agit de silice et non de silicium élémentaire. La silice colloïdale peut cependant être toxique et de nombreux travaux universitaires sont menés dans ce domaine. En réalité, la plupart des "siliciums colloïdaux" sont de grosses particules de silicium minéral dont l'absorption par l'organisme est très faible.
La véritable silice colloïdale existe cependant dans certaines formulations comme l'acide orthosilicique stabilisé par de la choline. Elle est fabriquée sous la forme d'une petite particule par la présence de concentrations très fortes d'un ammonium quaternaire appelé "choline". Les études actuellement disponibles n'ont pas soulevé d'inquiétudes sur les doses élevées de choline mais des études supplémentaires devraient concerner la sécurité des particules colloïdales ou "nano" de silice. 17 % de cette formulation peut être assimilée par l'organisme sous forme de silicium.
L'ajout (généralement en petites quantités) de silicium végétal extrait d'ortie ou Urtica dioica ne modifie pas la situation pour les compléments de silicium colloïdal ou minéral. Le silicium de ces plantes est appelé silicium "phytolithique" ; c'est également une forme de silicium minéral. Il est présent dans la plante pour la défense physique et n'est pas utilisé par la plante pour ses cellules ou d'autres besoins physiologiques. De même, il n'est pas utilisé par l'organisme humain et il ne modifie aucunement la toxicité du silicium colloïdal ou minéral.